dimanche 12 octobre 2008

Introduction à la sémiologie de la BD cartonnée

Recopié au propre

Les changements d'une séquence de Loisel et Tripp nous introduit à la sémiologie. C'est intéressant de voir l'évolution de l'histoire et des symboles employés par les auteurs en lisant la BD; c'est comme si on regardait les story-boards pour un film et le film en même temps ou juste après.




Laissez venir à lui...

Supermurgeman, basé un peu sur Le Journal de la Jungle, est devenu de plus en plus trash; même la comparaison des deux couvertures ici nous montre cela, mais j'aime bien l'utilisation du style brechtien qui théâtralise avec la légende "les fruits grognent".

Trait grave

Voici les deux sourires différents mentionnés dan cet extrait. D'abord, nous avons le sourire idiot...

et puis, le sourire de résignation, où on serre les dents.

L'image de Le peuple des endormis qui est présentée ici est beaucoup plus grave que les autres BDs qu'on vient de voir, comme les romans graphiques par rapport aux autres formes de BD.




vs.

Mon truc en peluche

Cette case vient des auteurs de La Bulle de Bertold, Agrimbau et Ipolitti.

Quand on a mentionné Francis Bacon, j'ai pensé du philosophe; évidemment, c'est pas lui, mais celui-ci.

L'un de ses tableaux, Figure with Meat, m'a fait pensé des couvertures du roman graphique Sandman, et leur mélange de couleurs dans chaque figure dans l'image.



Matière première

L'ambiguïté des trois cases ici me rappelle des images de figures que l'on peut interpréter de deux manières.



Et aussi, le style de « negative space »; ici, il y a aussi deux images possibles.


1 commentaire:

Anonyme a dit…

Votre travail est si excellent et dépasse tellement en qualité celui de vos condisciples que je ne peux que vous inviter à le poursuivre dans un "mémoire" de master, par exemple. Il serait dommage que toutes vos recherches pour mon cours soient ensuite perdues...